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L'originalité n'est pas de mise mais force est d'admettre que cette petite comédie se suit agréablement. Sympathique, drôle mais, évidemment, sans plus.

Revu :


Je ne me lasse jamais de revoir Massacre à la Tronçonneuse. Subversif, unique, intemporel, sale, irremplaçable et inégalé, le chef-d'oeuvre de Tobe Hooper n'a rien perdu de son efficacité. Cette édition Blu-Ray (importée) montre parfaitement que la HD ne sied pas uniquement aux blockbusters de Science-Fiction mais qu'elle peut également seconder des oeuvres aussi expérimentales que The Texas Chain Saw Massacre. Le rachat demeure cependant discutable étant donné le charme qu'apporte l'édition DVD.

Shorts de Robert Rodriguez - 14/20

Voilà un film, qu’il ne faut surtout pas prendre au sérieux et qui fera passer un très bon moment, à toute la famille. Il y a un bon mélange d’humour, d’action et de fantaisie. L’histoire est complètement folle. Les acteurs sont sympas. Et, la réalisation de Robert Rodriguez est inventive. Bref, Shorts n'est pas un gros film, mais un bon petit divertissement, bien rigolo!

Funny People - 8/20

Rien à dire à part, Judd Apatow reste dans les comédies qui ne durent que 1h30. Car, autrement tu fait des trucs chients et mal fait comme Funny People !!!

Oui, les scènes d'effroi fonctionnent plutôt bien mais tout le reste est bon à mettre à la poubelle. Dialogues débiles, réalisation plate et sans créativité (ils sont pas foutus de pondre un seul plan-séquence, obligés de recourir en permanence à des fondus), scénario redondant (un événement paranormal, la journée du lendemain, une événement paranormal, la journée du lendemain, etc.), récit sans histoire et personnages inattachants. Heureusement que les scènes d'effroi font mouche (celle où Katie est tirée par le pied fait froid dans le dos !) car Paranormal Activity est très loin de remplir le cahier des charges !


Perna a beau un peu trop se regarder quand elle joue (on discerne encore mal l'intérêt et la pertinence de faire la chorégraphie de Madonna ou d'imiter Sylvie Vartan et Brigitte Bardot), il faut bien admettre que ses jeux de mots portés sur le sexe mais subtils et que son personnage principal (Mado, donc) font mouche et permettent au spectateur de passer un bon moment.


Même s'il faut saluer la performance de la comédienne (qui incarne ici une bonne dizaine de personnages) et le charme qui se dégage de ce docu-fiction, la mise en scène on ne peut plus plate et convenue, les lourdeurs et les gags trop gentillets manquent de nous séduire et l'on se lasse assez vite de l'ensemble.


Revu :


Luc Besson a beau être ce qu'il est (un cinéaste narcissique qui aime bien se regarder filmer), ses films ne manquent pas moins d'attrait. Fresque intelligente et prenante de l'histoire de la Pucelle d'Orléans, Jeanne d'Arc marque les esprits grâce à ses combats violents et la performance sans faille de l'ensemble de ses comédiens (Milla Jovovitch surprenante, Vincent Cassel hilarant, John Malkovich parfait). En revanche, le parti pris un peu trop poussé de l'auteur - présentant clairement Jeanne d'Arc comme une hystérique délirante - biaise inévitablement notre appréciation d'une part et la valeur historique du produit d'autre part.

Les Doigts Croches de Ken Scott - 15/20

Un bon petit film sur la rédemption et l’amitié! L’histoire est intéressante, amusante et pleine de surprises. Et, le casting est impeccable, avec comme principaux acteurs Roy Dupuis, Claude Legault, Jean-Pierre Bergeron, Patrice Robitaille et Paolo Noël. En tout cas, pour un premier film, en tant que réalisateur/scénariste, Ken Scott s’en sort très bien.


My Sister’s Keeper de Nick Cassavetes - 18/20

Je ne m’attendais pas du tout à voir, un film aussi bouleversant et magnifique. L’histoire est vraiment sensas. Mais, la réussite de My Sister’s Keeper est grande partie dû, à la superbe performance d’Abigail Breslin, ainsi que celle de Sofia Vassilieva. Elles sont tous deux stupéfiantes et brillantes. Cameron Diaz, Jason Patric et Evan Ellingson sont aussi très convaincants dans leur rôle. Bref, à tous ceux qui ont aimés John Q., du même réalisateur, vous devriez adorer My Sister’s Keeper, qui est davantage meilleur et plus émouvant.

Un épisode qui renoue avec les bases de l'horreur. Un rythme bien soutenu, une histoire intéressante, une ambiance très X-Files et des acteurs qui font leur boulot de manière tout à fait correcte. Une petite réussite, donc.


Revu :


Même si le charme opère moins bien que la dernière fois, Yes Man demeure une comédie fraîche à la fois désopilante, émouvante et réflexive. Et les rôles de barjots vont vraiment à merveille à Jim Carrey.

Revus :


On dira ce que l'on veut, ce 3e volet est sans conteste le plus intéressant et le plus abouti de cette prélogie. Malgré des lourdeurs malvenues, La Revanche des Sith s'affirme en particulier grâce à la tournure prise par Anakin Skywalker, glissant définitivement du côté de la Force Obscure.


Toujours aussi intéressant et atypique mais son côté vieilli et ses considérations pseudo scientifiques très naïves en font une simple série B des années 80.

Terminator de James Cameron : 16/20

Une série B qui ne manque pas d'attrait, avec ses scènes d'actions, ses acteurs à la limite de la perfection et surtout la musique qui donne des frissons. Terminator, est un film culte qui mérite d'être vu et revu par ses fans !!! On n'oublie pas vite la prestation énorme de Arnold Schwarzenegger.

Terminator est-il vraiment une série B ? J'émettrais quelques réserves à ce sujet, en ce qui me concerne...

Citation :

Terminator est-il vraiment une série B ? J'émettrais quelques réserves à ce sujet, en ce qui me concerne...

Alors c'est quoi sérieusement ? Car je ne vois que ce terme pour le décrire (ce qui ne lui enlève aucune qualité pour autant).

Terminator 2 de James Cameron : 17/20

Encore meilleur que le précédent, Terminator 2 est une perle rare et un film culte énorme. Les acteurs Robert Patrick et Arnold Schwarzenegger sont superbes dans leur rôle, la réalisation montre un cinéaste prodige et la satire-sociale touche la cible (l'humain qui s'auto détruit lui-même). La finale est peut-être la porte ouverte... Mais j'aurais aimer que ça s'arrête-là !!!

Mulder a écrit:

Citation :

Terminator est-il vraiment une série B ? J'émettrais quelques réserves à ce sujet, en ce qui me concerne...

Alors c'est quoi sérieusement ? Car je ne vois que ce terme pour le décrire (ce qui ne lui enlève aucune qualité pour autant).

On n'est peut-être pas obligé de qualifier systématiquement un film de série A, B ou Z. Terminator est un film de science-fiction qui rogne également du côté du thriller et du film d'action. Mais j'ai du mal à le percevoir comme une série B, personnellement. Sans son message sous-jacent et sans son aspect visionnaire, oui, dans ce cas, on pourrait clairement le qualifier de série B. Enfin, ça n'est que mon point de vue, bien entendu.


Un scénario guère attractif, souvent convenu et prévisible, et mené par un acteur principal rarement convaincant.

FEAR ITSELF - 1x03 : Volte-Face - 13/20

Bien que l'épisode emprunte un peu trop à certains épisodes d'X-Files et bien que l'actrice qui interprète la mère de famille joue comme un pied, l'ensemble se suit agréablement.


Comment John Landis a pu pondre un épisode aussi mauvais ?! Tiré par les cheveux, convenu, incohérent et incroyablement plat tant sur les plans technique que scénaristique ; La Lettre constitue jusqu'ici le pire épisode de cette première (et unique ?) saison.

Comment Stuart Gordon et ses scénaristes ont pu flinguer à ce point un scénario avec autant de potentiel ?! Après un début intense - magnifié par la réalisation burlesque de Gordon et le traitement scénaristique couillu des auteurs -, le script se vautre dans un paquet de clichés, d'éléments convenus (on devine tout dès les 15 premières minutes) et se trouve sérieusement limité, d'une part, par la prestation surenchérie et à côté de la plaque du Dévoreur et, d'autre part, par un revirement final complètement naze et incohérent (c'est vraiment très malin d'ingurgiter de la mort aux rats pour tuer quelqu'un d'autre !).


Darren Lynn Bousman est-il atteint de la maladie de Parkinson ou ne se rend-il simplement pas compte qu'il se ridiculise à force d'utiliser tout le temps les mêmes maladresses techniques ?! Alors que le début de l'épisode laissait présager un scénario haut en couleur et prenant, il suffit de quelques minutes pour que le style épileptique du cinéaste ruine tout le potentiel de l'oeuvre et démontre son réel manque d'inspiration et de talent. Plombé par un twist final minable, La Nouvelle Année continue à enterrer Fear Itself six pieds sous terre...

Citation :

Darren Lynn Bousman est-il atteint de la maladie de Parkinson ou ne se rend-il simplement pas compte qu'il se ridiculise à force d'utiliser tout le temps les mêmes maladresses techniques ?!

Ce qu'il va réussir à corriger avec Repo ! The Genetic Opera qui sera réaliser 1 an plus tard !!!!

Mulder a écrit:

Citation :

Darren Lynn Bousman est-il atteint de la maladie de Parkinson ou ne se rend-il simplement pas compte qu'il se ridiculise à force d'utiliser tout le temps les mêmes maladresses techniques ?!

Ce qu'il va réussir à corriger avec Repo ! The Genetic Opera qui sera réaliser 1 an plus tard !!!!

La question est désormais de savoir : Repo était-il un accident ou un réveil de la part de l'auteur ?!

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