Il y a des films qui sont vraiment malsain, d'autre utilise cette trame seulement pour choquer. Mais il y en a qui sont fait surtout pour les hommages aux vieux films.
Calvaire utilise la trame du survival ordinaire pour utilisé sa propre identité finalement, ce qui surprendra plus d'un est que le film prend un thème que l'on est pas habitué de voir, je ne dirait pas c'est quoi mais c'est vraiment inattendu !
Marc Stevens est un chanteur populaire qui fait du bien aux cœurs. Pars vers une route pour un nouveau concert, mais un brouillard vient le percuté. Il est perdu mais finalement il trouve une auberge. Celle-ci est tenue par Bartel un homme qui à perdu sa femme. Il séquestre le jeune garçon en croyant voir la réincarnation de sa femme... Mais il n’est pas le seul, les villageois pas loin soupçonnes son retour également !
Véritable hommage à
Texas Chain Saw Massacre,
la Traque et
Death race 2000.
Calvaire évolue dans cette voie mais au lieu d'une tronçonneuse, on à doit à un homme malade qui crois que le héros est sa femme. Je sais ça se ressemble pas, mais l'ambiance est aussi forte que celui-ci. Surtout les mauvais traitements que Bartel inflige à Marc. Celui-ci veut juste s'échapper de cet enfer mais est toujours perçue comme le méchant. Encore pire par moment l'on à mal au cœur, même si l’on ne voit pas toujours quelques choses. Mais bien sûr il faut jouer le jeu pour pouvoir comprendre la souffrance de celui-ci.
Dans tout le film, il y a trois scènes que j'ai retenues énormément. La première est la scène du bar, celle-ci est vraiment malade, la danse de pingouin que les villageois font, est complètement fou en plus d'être incompréhensible à la fois. Celle-ci avec la musiquefroide et bizarre donne un gros plus à cette scène déjà symbolique et incompréhensible. La deuxième scène, reste l'hommage savoureux et réussie de la scène du dîner dans
Texas Chain Saw Massacre.
Fabrice Du Welz utilise sa caméra pour rendre cela encore plus dépravé et remarquable, quand je pense que ça vient d'un autre film ! La troisième et ultime scène, est la dernière en plus de ne pas finir son film,
Du Welz rend cela surréaliste. Ce que je peux dire c'est quelles est différant de ce que je pensais.
Mais je crois que le film aurait jamais marché sans la photographie de
Benoît Debie, il rend le film avec une clarté à la limite de la perfection. Mais aussi il peut rendre l'image verte et crade comme ( vous savez sûrement)
Texas Chain Saw Massacre, Ça rend le film encore plus macabre et bizarre.
Calvaire est un hommage savoureux et vraiment spécial, qui prend plusieurs écoutes pour bien comprend tout la subtilité du film. Mais ce que j'adore encore plus est l'audace que
Du Welz à porté, rare sont les cinéastes qui vont prendre tant de risque. Après cela je peux vous conseillé son aussi bon
Vinyan !
NOTE: 18,5/20