Pour ce que je vais vous poster la est une exclu, ce que je ne devrais pas vous dévoilez dailleur, car toujours en écriture et pas prévu d'être tourner avant 2010, mais comme vous êtes des amis, je me suis dit, ok je vais leur donner un apercu de ce que sera le début du film.
’’EASY TRIGGER II :
LA VENGEANCE DU COLONEL”
UN LONG METRAGE DE
THOMAS JIRSA
SCENARIO
Scénariste : Aurélien Cartigny
EXPLOITER PAR
MPD PRODUCTION
1 NOIR
Voix 1 : (off)
Mardi 15 mars 1870, après avoir parcouru le grand Ouest, le colonel Percho a enfin retrouvé la trace du meurtrier de Joe, son frère, le plus grand tueur de l’Ouest Américain, Ramon Rodos, à El Paso, petite ville de 500 habitants, située dans le Sud Ouest, non loin de la frontière avec le Mexique.
2 JOUR/EXT PLAINES DESERTES PRES DE EL PASO
Le colonel, assis sur son cheval et fumant sa cigarette, vêtu de son uniforme, contemple du haut de la colline la ville, animé par ses habitants. Le colonel se remet en route. Il arrive à hauteur du panneau de la ville d’El Paso, quand le villageois, sur son passage, le contemple.
Villageoise 1 : (en tirant la manche de son mari)
- Regarde chérie.
Le mari, cigare à la bouche, se retourne et contemple la grandeur et la propreté du colonel dans sa droiture et son regard portant loin devant lui. Là, il passe devant le saloon, d’où deux soldats ivres sorte, et tirant les manches de l’uniforme du colonel, sans même prêtés attention à son rang militaire. Le colonel s’arrête, et regarde les deux soldat, en les fixant d’un regard neutre.
Soldat 1 : (tenant à peine debout, se mettant au garde a vous difficilement)
- Touuueu mon erspect colnel.
Le deuxième soldat fit de même, sans dire un mot, mais une tâche vint apparaître à son entre cuisse. Le colonel le regarde.
Soldat 2 : (rigolant comme un ivrogne)
- Zolé lonel.
Le colonel reprit enfin sa route, ne prêtant pas attention aux insultes des deux soldats ivres. Il arrive ensuite à hauteur de la petite église, où le père Pablo fit le signe de croit à son passage. Puis il passe ensuite devant la sœur Martinez.
Colonel Percho:
- Bonjour ma sœur. Savez vous où je puis trouvé une bonne chambre ?
Sœur Martinez :
- Oui mon fils, dans l’hôtel de l’autre côté de la ville.
Colonel Percho:
- Merci ma sœur, que Dieu vous protège.
Le colonel reprit sa route, la sœur fit un signe de croix et lui cria « que Dieu vous bénisse mon fils ». Il arrive enfin devant l’hôtel, descend de son cheval et l’attache. Il sort de sa poche un mouchoir et s’essuie le visage. Pour finir il jette son mégot, et crache un coup au sol.
3 JOUR/INT HOTEL/CHAMBRE 202
Le colonel monte les marches et pénètre dans l’hôtel, arrivé dans le hall, il regarde autour de lui avec son regard d’homme vigilent. Il finit par s’avancer vers le comptoir où se trouve le patron de l’hôtel.
Patron hôtel : (voix heureuse)
- Bonjour M’sieur, vous désirez ?
Colonel Percho: (posant le coude droit sur le comptoir et observant la pièce)
- Une chambre et la meilleur que vous avez.
Patron hôtel : (voix heureuse)
- Voilà, chambre 202 à l’étage.
Colonel Percho: (prenant la clé et montant à l’étage)
- Merci.
Patron hôtel : (murmure colérique)
- Tous des emmerdeurs ses gradés.
Le colonel monte les escaliers, insert la clé dans la serrure de la porte de la chambre 202, et pénètre à l’intérieur. Elle est simple, un lit faisant face à l’unique fenêtre, une armoire et un tonneau en guise de baignoire. Percho s’assis sur le lit, afin d’ôter ses bottes, puis se déshabille, après avoir remplit le tonneaux d’eau tiède, et s’assis dedans, la cigarette à la bouche.
4 JOUR/EXT CAMPEMENT RAMON RODOS
Ramon observe le paysage, tandis que ses trois hommes de main dorment autour du feu encore fumant. Il se retourne enfin, donne des coups de pied dans les gens de ses hommes.
Ramon : (voix forte)
- Debout bande de fainéant ! On va en ville faire des affaires.
Les trois hommes se lèvent et s’habillent. Ils montent tous les quatre sur leur cheval, et partent en direction de la ville.
5 JOUR/EXT EL PASO
Ramon et ses hommes arrivent à El Paso. A leur passage, il bouscule un homme par terre. Ramon est salement vêtu, avec sa moustache noire sur son visage sale, et ses long cheveux brun. Quand à ses trois hommes, ils étaient tout aussi mal vêtu que lui, mais avaient une chevelure beaucoup plus courte. Tous quatre arrivent face au saloon. Ils descendent de leur monture, et pénètre à l’intérieur.
6 JOUR/INT SALOON
Le saloon est très propre, et envahit par la fumée des cigares et cigarette que fume les clients. La salle disposait de cinq tables, d’une scène avec un piano, et d’un comptoir magnifique. Derrière le comptoir se tient le barman, habillé d’une veste blanche, avec deux bande noir au dessus de ses coudes, et un pantalon noir. Ramon arrive au comptoir, ses trois hommes l’entoure, dos à lui.
Ramon : (voix provocante)
- Un whisky, laisse la bouteille.
Ramon commence à boire, mais au même instant, le shérif pénètre dans le saloon, et s’approche de lui.
Shérif Cliffhanger : (voix de défi)
- N’ai-je pas été assez claire Rodos ? Il m’a semblé t’avoir dit de ne plus jamais foutre les pieds ici.
Ramon : (voix provocante et le pointant du doigt)
- Shérif, quand j’aurais besoin de vous, je viendrais frapper à la porte de votre taudis. (il crache aux pieds du shérif)
Shérif Cliffhanger : (voix de défi)
- Méfiez vous Rodos, un jour la loi aura raison sur vous.
Sur ses paroles, le shérif sortit du saloon. Rodos lui se resservi du whisky, qu’il but cul sec. Il regarde ensuite une table où trois hommes jouaient aux cartes. Un des trois hommes eut la mal chance de croisé le regard de Rodos, ce qui le mit dans une rage folle.
Ramon : (voix provocante et le pointant du doigt)
- Tu as des soucis gamin ?
Joueur 1 : (voix tremblante)
- Non.
Ramon : (voix provocante et le pointant du doigt)
- Eh bien me regarde pas comme sa. T’as compris ? Ou il faut que je te plombe ?
Joueur 2 :
- Hé s’est bon vous allez le lâcher maintenant.
Sur ses paroles, tout le saloon sorti de la salle. En effet cela à mis Ramon dans une rage encore plus grande. Il dégaina son colt et tira une balle en plein cœur du joueur 2. Le troisième se leva, puis se pencha sur son ami.
Joueur 3 : (voix tremblante de tristesse)
- Oh non Simousse.
Il se mit à pleurer, prenant son ami dans les bras, le joueur 1 regardant méchamment Rodos. Ramon et ses trois hommes sortir du saloon, bousculant tout su leur passage. Puis un réfugier mexicain eu le malheur de croisé sa route, il le prit, et le poussa violemment contre une poutre du saloon. Ils montèrent à cheval et quittèrent la ville. Les témoin de la scène les observèrent partirent.
7 JOUR/INT CHAMBRE 202
Le colonel Percho est assis, en train de savouré son repas, composé d’un poulet et une assiette de cassoulet, ainsi que du pain et du vain. Il mange le poulet avec ses mains, et le cassoulet avec une cuillère en bois, mais dans la plus grande tenue, digne d’un homme de rang élevé. Quand on vint frapper à la porte. Il se leva et alla voir.
Sœur Martinez :
- Bonjour mon fils, j’espère que je ne vous dérange pas ?
Colonel Percho: (voix calme)
- Pas du tout ma sœur, entrée.
La sœur entra, suivit du père Pablo. Percho les invita à s’asseoir.
Colonel Percho: (voix calme)
- Qu’elle est l’objet de votre visite ?
Père Pablo : (voix accent hispanique)
- Eh bien, voilà la paroisse organise comme chaque année une kermesse, où des jeux et un balle est organisé, et cela nous ferais grand plaisir si vous y venez.
Colonel Percho:
- Je viendrais, cela me fera un grand bien de me divertir un peu, je vous remercie ma sœur, mon père pour votre invitation.